akblog

Une observation objective de quelques faits notoires dans l'histoire récente de notre Pays (les 30 dernières années) :

• - Aucun gouvernement n'a jamais satisfait son électorat, il en a résulté une impossibilité de pratiquer les réformes essentielles à notre dynamisme et donc un recul de notre position dans la compétition mondiale.
• - Le président le plus marquants de ces 30 années semble être M. Mittérand, volontiers comparé à un monarque par les observateurs.
• - La France souffre d'une division interne systématique sur tous les grands sujets de société et ne peut donc se définir une ligne de conduite claire.
• - La favorite actuelle des sondages ne s'appelle t elle pas Ségolène Royal, n'y a t il pas au sein même de son foyer d'autres personnes susceptibles d'accéder au pouvoir ?

Comment ne pas constater cette aspiration méconnue, des Français à la Monarchie , garante de la continuité, du prestige, de l'unité et de la famille reignante ?

Ces propos peuvent paraître saugrenus mais je serais étonné qu'il n'y ait pas une pointe de vérité. Réponse dans quelques décénies ou quelques siècles,

ak

Un exemple assez troublant le d'absurdité de la France d'aujourd'hui.

En ce mois de février 2006, nous avons un gouvernement qui s'essaie à proposer une nouvelle formule dont l'objectif premier est d'inciter les entreprises qui emploient des jeunes à utiliser un contrat d'embauche (CPE) au lieu d'un stage peu rémunéré ou un CDD.

La réaction des opposants habituels ne se fait pas attendre ! Sans même y réfléchir l'opposition (PS + UDF + gauche extrême) dénonce la précarisation de l'emploi des jeunes.

Leur explication est simple : le CPE offre moins de garantie que le CDI. On dénonce donc la mort du CDI, la précarisation de la jeunesse etc.

Or, si l'on regarde les choses avec un soupçon d'honnêteté, on est obligé de constater que notre retard actuel sur les pays concurrents (c'est bien entendu dans cette perspective qu'il faut se placer) est notamment du à

L'ensemble des contraintes qu'impose le CDI. Et c'est là qu'il serait bon ne serait que d'entrouvrir les yeux. Qui n'a pas vu une personne fortement nuisible à une entreprise restée employée dans les plus grandes conditions de confort ?

A ceux qui reconnaissent ce type réalité, comment ne pas voir l'effet pervers de ce système ? En effet le coût de cette personne que nous nommerons X nuit bien entendu d'une part à l'employeur :

• qui doit tout faire pour ne pas que X propage son pouvoir de nuisance auprès de ses camarades,
• qui ne peut bien entendu pas embaucher en raison du budget qui est utilisé pour la rémunération de X.
• qui doit déployer une énergie souvent stérile à trouver un moyen de se séparer de X.

Mettons nous à la place de ce X qui de toute évidence est également à plaindre. Il est finalement aussi une victime car le système, au lieu de l'aider à se remettre en question, l'incite à simuler et à attendre un licenciement qui a toutes les chances de se terminer aux prudhommes, ce qui est souvent juteux financièremement. Monsieur X ne voit donc pas plus loin or Monsieur X risque en réalité :

• De ne plus savoir qui il est
• De perdre toute confiance en sa capacité à créer de la valeur
• De se retrouver (une fois qu'il aura touché son petit pactole) dans une situation d'innemployabilité (trop cher, incompétent, mauvaises références).

Le ou les troisième(s) victime(s) de ce CDI si protecteur sont bien entendu les personnes qui ne sont pas embauchées en raison de l'expérience que vit l'entreprise avec M. X.

• Le coût financier de Monsieur X empeche l'embauche d'un ou plusieurs jeunes
• L'expérience vécue avec M. X accroit la méfiance que l'entreprise peut avoir de ses potentiels recrutés.

L'entreprise décide donc et c'est naturel de prendre des stagiaires, des CDD, des intérimaires etc. Cette situation coûte cher mais tellement moins que la gestion du cas de M. X.

Ce raisonnement qui découle du simple bon sens semble innaccessible aux opposants politiques actuels. N'est-ce pas absurde ?

Ces opposants anti-précarisation ne sont ils finalement pas les gardiens musclés de cette précarité qu'ils dénoncent dans leur discours et qu'ils soutiennent dans les faits ?

ak

Après une trève, due principalement au week-end, je m'essaie à un nouvel exercice : le test des fonctionnalités de ce blog.

Si je souhaite écrire dornévant en Verdana, voila ce que cela donne.

Le résultat est il meilleur en police Georgia ?

Les lecteurs attentifs remarquerons que j'ai posté une image dans la partie droite de ce message.

Essayons maintenant de varier les couleurs ...

Tentons de voir grand, ou de rester petit.

Avec ces quelques divertissements,

Nous avons pu voir l'essentiel des possibilités de présentation qu'offrent ce blog.

ak

En ce sixième jour, il est à nos yeux intéressant de faire un bilan de ce blog.

Les points positifs :

• Ce blog semble, avoir un ton ,une personnalité qui se dessine
• akblog s'enrichit jour après jour de nouvelles idées, de nouveaux concepts

Ce qu'il reste à améliorer :

• Les lecteurs d'akblogs sont aujourd'hui peu nombreux : nous en comptons environ un (ce qui inclut l'auteur de ces lignes).
• akblog n'a pas révélé sa substance et ne s'est essayé jusqu'aujourd'hui qu'à tracer une sorte de trâme de fond, cadre dans lequel akblog évoluera, nous l'espérons avec succès.

En conclusion au sixième jour :
La construction d'un blog cohérent n'est pas simple et c'est un travail régulier de quelques minutes tous les jours. Ni l'auteur ni les lecteurs qui sont actuellement une seule et même personne n'en tirent aujourd'hui une grande satisfaction. Malgré tout, l'espoir reste tenace.

ak

En ce 2 février, de l'année 2006, je m'autorise à quelques réflexions sur le sens fondamental de ce blog. Pour cela, il me semble opportun de donner quelques objectifs tout en soulignant les contraintes qu'imposent ce type d'outil.

• L'objectif premier est de développer une identité à ce blog, permettant au lecteur potentiel de pouvoir suivre une logique particulière, de se promener sur un chemin innaccessible par ailleurs.
• L'objectif second est que cette identité puisse nourrir le lecteur ou au moins le distraire.
• A ce stade de la vie d'akblog, j'arrete ici la définition de cette ambition.

Il faut néanmoins souligner les contraintes propres au blog.
La liberté d'écriture me semble en effet toute relative pour différentes raisons.
Par exemple, le risque d'être lu impose au blogger un comportement internettement correct, contrainte que n'a pas le romancier(e) ou celui (celle) qui écrit son journal intime. Comment par exemple parler d'un meurtre effectué la veille au soir sur un Blog ? Ce cas extrême montre que le blogger doit se tenir serré dans le champ du réel et du socialement exprimable.
Le risque évident du Blog est qu'il se transforme en discussion mondaine et que finalement le message que l'auteur aurait souhaiter transmettre n'apparaisse pas.

En conclusion, il faut essayer de surmonter l'aspect fortement superficiel du Blog et apprendre au lecteur à lire entre les lignes, en gros un blogger doit avoir une écriture subtile, ce qui est parfois complexe.

Le blogger jouit néanmoins d'un certain confort, car sauf publicité outrancière, le risque d'être lu semble relativement faible.

ak

Le mois de février commence enfin. J'avais hâte de retrouver ce blog. En effet, ne plus pouvoir donner de nouvelle de mes pensées les plus personnelles commençait à m'angoisser.
Je suis heureux donc que cette libération intervienne en ce début de mois, propice au ski et à la neige. J'essaierai d'exprimer le sens de ce blog dans les jours qui viennent, exercice qui s'annonce ardu.

ak